GÉNOCIDE 1994 AU RWANDA : VIOLS SYSTÉMATIQUES, avec le SIDA en prime :
Durant les trois mois (avril, mai et juin 1994) que dura le GÉNOCIDE perpétré au Rwanda contre les Tutsi en 1994, le VIOL fut systématiquement utilisé comme ARME DE GUERRE, avec en prime la transmission délibérément voulue du virus du SIDA. Dans son rapport du 29.1.96, M. René Degni-Ségui, rapporteur spécial de la Commission des Droits de l’homme des Nations Unies, parle de ces viols comme ayant été « systématiques et utilisés comme arme par ceux qui ont perpétré les massacres. (…) D’après des témoignages cohérents et fiables, un nombre important de femmes (250’000 à 500’000) ont été violées ; le viol était une règle et son absence une exception. » (Curieusement, des associations qui ont pour mission de lutter contre le viol n’ont pas manifesté la moindre indignation…) Le rapport de l’Unicef « Enfants et femmes du Rwanda » (1998) estime le nombre de ces viols systématiques entre 300’000 et 500’000. Une étude sérieuse menée par le docteur Catherine Bonnet (étude financée par la Fondation de France avec le soutien logistique de Médecins Sans Frontières) conclut : « Au Rwanda, le viol des femmes a été systématique, arbitraire, planifié et utilisé comme une arme de nettoyage ethnique pour détruire très profondément les liens d’une communauté, en laissant les victimes silencieuses. Les violences sexuelles ont pour particularité de porter atteinte à l’intimité de la personne et à sa vie privée, aussi restent-elles très souvent secrètes. (…) La reconnaissance de ces crimes dans la loi est avant tout un devoir de justice qui peut permettre de lever le déni du viol. »
Qui désire le rapport du docteur Catherine Bonnet peut me le demander en cliquant sur contact. Mon envoi sera volontiers complété par UN DOSSIER SUR LA TRAGÉDIE DU RWANDA : ses causes, ses aspects cachés ; le rôle des Eglises ; les vraies raisons de l’opération « humanitaire » Turquoise, raisons si inavouables que fut lancé fin août 1994 un « Appel Rwanda », signé notamment du biologiste Albert Jacquard, ou de Mgr Gaillot, mais que la presse – y compris les plus prestigieux quotidiens ou même des hebdomadaires satiriques – n’osa publier, raison d’Etat oblige; mais moi, je ne me soumets pas à la raison d’Etat ; alors cet appel, je le joins au dossier, qui donne vraiment l’essentiel de ce qu’il faut savoir pour enfin comprendre cette tragédie. Mais ici même, dans les parties « NORD-SUD » et « RWANDA », vous trouverez de quoi forger votre propre opinion.
Il y a de bien curieux défenseurs des droits de l’homme. Un certain JOSEPH MATATA, par exemple, qui tint des propos négationnistes d’un machisme odieux lors du procès, à Lausanne (avril 1999), d’un bourgmestre rwandais accusé d’avoir activement participé au génocide de 1994. Il répéta en kinyarwanda ces propos au micro complaisamment tendu par M. Celsius Nsengiyumwa, correspondant de la BBC. Pour ce Joseph Matata, qui se déclare « militant des droits de l’homme » (au masculin seulement ?), le viol ne pouvait être que dérapage individuel dû à une « faiblesse humaine » (devant la Cour) : « C’est comme quelqu’un qui, venu pour tuer, arriverait devant une marmite et éprouverait d’abord l’envie d’assouvir sa faim » (à la BBC).
Si au moins il ne s'agissait que d'une offense isolée à la dignité de la femme ! En quelques lignes qui passèrent inaperçues, la presse fustigea l'attitude du TRIBUNAL PÉNAL INTERNATIONAL D’ARUSHa, en Tanzanie, et qui est chargé de juger les principaux coupables du génocide rwandais : certaines questions obscènes des juges furent une grave offense à la pudeur des femmes victimes de viols et qui, survivantes, avaient osé déposer plainte. Des précisions inutiles leur furent demandées, avec rires et ricanements.
Des voix se sont d'ailleurs élevées pour dénoncer la présence, au sein de ce tribunal, de complices des accusés, qui travaillent sous de faux noms. On parle aussi de partage, entre avocats et accusés, des honoraires substantiels versés aux avocats par la communauté internationale. Inutile de préciser que ceux des violeurs qui sont atteints du sida et qui attendent leur jugement à Arusha, ou qui ont déjà été condamnés, bénéficient, aux frais de cette même communauté internationale, des thérapies appropriées, alors que celles de leurs victimes qu'ils ont contaminées sont innombrables à dépérir (si elles survivent encore) et ne sont pas soignées…
Et un cafouillage de procédure a retardé le procès du pivot présumé du génocide, le colonel THÉONESTE BAGOSORA, « comme si personne ne voulait de ce procès-clef », déplora « Billets d'Afrique » en mai 2002 (Association Survie, Paris, http://survie.org.). « Quand on observe la faible qualité du travail de l'accusation, on en vient à se demander si tant d'incompétence ne confine pas au sabotage délibéré. Qui, parmi les membres du Conseil de Sécurité de l'ONU, ne trouve pas désormais superflu ou dérangeant cet effort de justice ? », ajouta « Billets d'Afrique ».
Pour en savoir plus : LA TRAGÉDIE DU RWANDA, sur ce même site.
PLAINTES, POUR VIOL, DE FEMMES TUTSI CONTRE L’ARMÉE FRANCAISE
(en cours de rédaction)
VIOLS EN RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO :
(en cours de rédaction)
Extrait de mon livre SOLIDAIRES ! © 2003 Lueur d’espoir, Nyon, Switzerland.
« A deux pas des Etats-Unis, dans la ville frontière de Ciudad Juarez (Etat de Chihuahua, le plus violent du Mexique), plus de trois cents femmes, adolescentes et fillettes ont été depuis 1993 étranglées après avoir été dans certains cas séquestrées pendant des semaines ; toutes ont été victimes de tortures, de violences sexuelles et de mutilations. Pourquoi un tel sadisme ? Rituels sataniques ? Orgies perverses de narcotrafiquants ? Vente d’organes ? Tournage de ‘snuff movies’, ces films-réalité dont nous avons déjà parlé, où la victime est violée, torturée et tuée devant la caméra ? Ou une cynique combinaison de tout cela ? Selon divers témoignages, les assassins auraient d’abord été protégés par la police, et auraient ensuite bénéficié d’appuis dans les milieux du pouvoir liés au trafic de drogue. Fin 1999, des cadavres de femmes et de fillettes furent retrouvés près de ranchs appartenant à des trafiquants de cocaïne, mafia liée à la police et aux militaires – mais les autorités refusèrent que l’enquête fût orientée dans ce sens. Parmi les suspects revient souvent le nom d’Alejandro Maynez, membre d’une riche famille propriétaire de boîtes de nuit ; il aurait fait partie d’une bande de criminels, de receleurs et de trafiquants de drogue et de bijoux ; de 1992 à 1998 il fut le protégé du gouverneur de l’Etat de Chihuahua, Francisco Barrio Terrazas, durant le mandat duquel se sont multipliés ces meurtres de femmes, mais qu’en décembre 2000 le président Vicente Fox nomma à la tête du ministère de la Fonction publique et du Contrôle des comptes, dont la mission est de ‘combattre la corruption et de rendre transparente la gestion de l’administration publique’ ! Depuis que, sous la pression de diverses associations, les enquêtes se multiplient, la mafia locale fait disparaître les corps grâce à la ‘lechada’, liquide corrosif composé de chaux vive et d’acides, qui dissout chairs et os. On a retrouvé un peu plus de trois cents cadavres, mais les associations ont recensé près de cinq cents disparues. Les avocats, juges, procureurs ou journalistes qui enquêtent reçoivent des menaces de mort. Les autorités inculpent des innocents et font menacer ou même assassiner ceux qui prennent la défense de ces faux coupables. (Le lecteur qui désire en savoir plus sur ces atrocités lira l’enquête de l’écrivain et journaliste Sergio Gonzalez Rodriguez dans ‘Le Monde diplomatique’ d’août 2003.) » (Tous droits réservés, @ 2003 by Christophe Baroni, Nyon, Switzerland.)
« FEMMES – TOXICODÉPENDANCE – PROSTITUTION :
Des femmes toxicodépendantes parlent de leur vécu » :Tel est le titre du travail de diplôme en travail social présenté par Simone Baroni-Hartmann en janvier 2008 à la Haute Ecole de Travail social de Genève, après des mois de collaboration avec le bus ‘Fleur de Pavé’ à Lausanne. J’en extrais ce passage de la conclusion, pour inviter chacune et surtout chacun à la réflexion : « D’un point de vue éthique, j’espère avoir su respecter pleinement les femmes qui m’ont confié leurs expériences et leur savoir ; je souhaite surtout qu’en interprétant leurs confidences, qui m’ont été si précieuses, je ne les ai ni mal comprises, ni ‘trahies’. J’espère aussi que les hommes, en particulier les homme-clients des femmes prostituées, ne se sentiront pas jugés dans leur propre personne par ce travail, mais qu’ils seront appelés à réfléchir sur leurs attitudes et comportements envers les femmes et les femmes prostituées. Aussi aimerais-je prier les lecteurs et lectrices de réfléchir aux problèmes de la prostitution et de la violence qui va de pair, ainsi qu’au manque de respect auquel les personnes prostituées et les personnes toxicodépendantes sont confrontées – c’est ce que nous rappelle également Chantal, à la fin de l’entretien, alors que je la remerciais pour sa participation : ‘Je fais volontiers des interviews comme ça. Si t’es tox et prostituée, franchement, je t’ai dit, t’es plus personne aux yeux des autres. Je veux dire, qui écoute quelqu’un comme moi ? On ne s’intéresse pas à ce que nous on a à dire. Mais je trouve important que les gens sachent aussi ce que nous vivons ; et que nous sommes aussi des êtres humains, qu’on a des sentiments, comme tout le monde.’ »
PROSTITUTION DES FEMMES ET ENFANTS AFRICAINS EN FRANCE ET EN EUROPE :
Je signale ici la lutte courageuse qu’au sein de son association MAYINA (= « Je veux que »), créée en France, Amely-James Koh Bela mène contre la prostitution des femmes et enfants africains en France et plus généralement en Europe. Travailleuse sociale camerounaise sensible aux horreurs indicibles imposées par des pervers à ces victimes de l’exploitation sexuelle, elle a publié deux livres : « La prostitution africaine en Occident » (2005) et « Mon combat contre la prostitution » (2007). Les buts de l’association Mayina : lutter contre le trafic des êtres humains à des fins d’exploitation sexuelle ; faire évoluer les stéréotypes et clichés attachés à l’Afrique, aux Africains et à leurs diasporas ; conduire à la responsabilisation et à l’autonomie personnelle, financière et professionnelle ; créer des modèles de réussite africains.
RELIGIEUSES (notamment africaines) EXPLOITÉES COMME PROSTITUÉES AU VATICAN :
Les ecclésiastiques du Vatican ne sont pas tous homosexuels, et l’on en a des preuves si l’on ne ferme pas les yeux sur les abus sexuels commis sur des religieuses, en particulier africaines :
Voici ce qu’écrit Henri Tincq dans « Le Monde » du 22 mars 2001 : « Accusé de ‘conspiration du silence’, le Vatican a reconnu, mardi 20 mars, la réalité d'abus sexuels et de viols commis par des prêtres, y compris sur des religieuses, et couverts par la hiérarchie catholique. Son porte-parole, Joaquin Navarro-Valls, a cherché à limiter l'ampleur du scandale, en affirmant qu'il était ‘restreint à une aire géographique limitée’. Pourtant, le rapport rédigé par Maura O'Donohue, médecin et religieuse américaine, à l'initiative de la congrégation vaticane pour les ordres religieux, cite pas moins de vingt-trois pays concernés. Si l'Afrique est le plus souvent citée, de tels cas d'abus sexuels sont signalés dans les cinq continents, et notamment au Brésil, en Colombie, aux Philippines, aux Etats-Unis et même en Irlande et en Italie. Le rapport de Sœur Maura O'Donohue soulève le coeur. Il a été remis au Vatican en 1995, mais vient d'être révélé par un journal américain, le ‘National Catholic Reporter’, et par ‘La Repubblica’ du 20 mars. » (Ce rapport serait resté bien caché, sinon !)
Auteur, avec son confrère Audifac Ignace, du livre « Et si Dieu n’aimait pas les Noirs ? Enquête sur le racisme au Vatican » (Edit. Pascal Galodé, 2009), le journaliste Serge Bilé explique à « VSD » : « En Afrique, nombre de femmes rentrent dans les ordres sans véritable vocation, pour échapper à la misère. En Italie, les congrégations subissent une crise des vocations : elles ont donc besoin de ces religieuses africaines, comme main-d’œuvre dans leurs maisons de retraites. Ces nonnes travaillent de 6h à 20h, sans un centime, et se sentent souvent discriminées par rapport aux nonnes italiennes. Leurs papiers sont parfois confisqués par la mère supérieure. Certaines finissent donc par céder aux avances d’ecclésiastiques : une nonne témoigne avoir des relations tarifées avec deux évêques, un Français et un Sud-Américain... Une demi-douzaine de nonnes séropositives ont été renvoyées en Afrique sans le moindre soutien financier ou moral – nous avons retrouvé au Congo le père de l’une d’elles. Une sœur congolaise tient même une véritable filière de prostitution. En 2001, un rapport dénonçait déjà les abus sexuels dont sont victimes des nonnes de la part de prêtres dans 23 pays. »
Pour en savoir plus, je vous suggère les sites www.antisectes.net et www.vsd.fr (sur ce dernier site, en plus de l’interview de Serge Bilé, vous pourrez voir un petit film où sont donnés des témoignages poignants).
A noter que les nonnes elles-mêmes ne sont pas toujours vertueuses : ainsi, en mars 2010, des responsables de l’Eglise catholique de Salzbourg, en Autriche, ont annoncé qu’un homme accuse une nonne de lui avoir fait subir des abus sexuels quand il était enfant, abus perpétrés également par un prêtre et plusieurs moines…
QUAND LA CONFESSION AURICULAURE ÉTAIT OUTRAGE À LA PUDEUR
« Seize fillettes, de différentes volées, ont rapporté avoir été tripotées par un curé du canton de Fribourg durant la confession ou au catéchisme : ‘Quand il nous demande nos péchés, il nous caresse les seins.’ A confesse, selon ces témoignages convergents, il pose sa main sur la tête, le cou, les cuisses des fillettes, ou même la glisse sous leur pull-over. Les familles qui ont osé déposer plainte sont, dans les villages concernés, vues d’un mauvais œil, car tenues pour responsables du départ de ce curé, qui désormais officie dans un home pour personnes âgées de la région lausannoise, après avoir été... acquitté par le Tribunal correctionnel de la Broye. Un cas d’attouchements... et d’acquittement parmi tant et tant d’autres ! » Compte rendu de la journaliste Martine Lambert dans « Le Nouveau Quotidien », Lausanne, 9 février 1998.
Admonestés par le pape, les cardinaux américains déclarent qu’ils appliqueront désormais la tolérance zéro… non sans prendre la précaution de souligner que « la plupart des cas concernaient des adolescents et n’étaient donc pas de véritables cas de pédophilie. Voici un petit rappel historique qui, dans le contexte actuel, prend un relief tout particulier :
Vers l’an 1500, le pape Pie IV « publia une ordonnance par laquelle toutes les femmes et les filles qui avaient été scandalisées et séduites par leurs confesseurs reçurent ordre de les dénoncer. Un certain nombre des principaux officiers de l’Inquisition furent choisis et autorisés par le pape pour recevoir les dépositions et punir les coupables. (…) A la fin, il parut évident au tribunal de l’Inquisition que le nombre des prêtres qui s’étaient servis de la confession auriculaire pour séduire leurs pénitentes était si grand qu’il était absolument impossible de les punir tous. L’enquête termina subitement ses travaux, et les coupables confesseurs furent laissés tranquilles et libres de continuer leurs œuvres de ténèbres ! Plusieurs autres papes ont fait de sincères efforts pour arrêter les abominations dont les confesseurs se rendent coupables : et toujours avec le même résultat. »
Cette citation est extraite du livre « Le prêtre, la femme et le confessionnal » (nouvelle édition, 1925) du Père CHINIQUY, qui quitta l’Eglise de Rome et se convertit à la foi évangélique. Sa sincérité est au-dessus de tout soupçon :
« J’ai soixante-six ans : avant peu je serai dans mon tombeau, et j’aurai à rendre compte à mon Dieu de ce que je dis en ce moment. Eh bien ! c’est avec mon tombeau devant les yeux et en présence du souverain Juge devant qui je vais bientôt paraître, que je déclare publiquement qu’il y a bien peu de prêtres qui échappent aux irrésistibles tentations qu’ils éprouvent en confessant les femmes. (...) J’ai entendu la confession de plus de deux cents prêtres. Eh bien, pour dire la vérité, telle que Dieu la connaît, il me faut avouer que j’en ai à peine rencontré vingt qui n’eussent à pleurer les péchés, secrets ou publics, dans lesquels la confession auriculaire les avait entraînés. (...) La confession auriculaire n’est rien autre chose qu’une école publique de prostitution et de dégradation pour tous, mais surtout pour la femme et le prêtre. » (Le Père Chiniquy fait observer que la confession auriculaire n’est devenue obligatoire dans l’Eglise romaine qu’en 1215, au Concile de Latran, sous le pape Innocent III.)
Son livre est presque introuvable, mais j’en ai donné l’essentiel dans un document, « CHINIQUY », que je tiens à la disposition de qui aimerait en prendre connaissance. Cliquer sur contact. Mais voyez la mise en garde ci-dessous.
Les questions posées par les confesseurs jusqu’à une époque assez récente ont de quoi choquer… même des sexologues, en notre temps où la sexualité s’est pourtant libérée de l’emprise du clergé. Assurément elles pouvaient troubler adolescent(e)s et adultes. Dans ce document « CHINIQUY » sont donnés des exemples édifiants, tirés du « Questionnaire à l’usage des confesseurs pour interroger les jeunes filles qui ne savent pas ou qui n’osent pas faire l’aveu de leurs péchés d’impureté ». La bienséance m’interdit de les reproduire ici, tant les détails sont d’une minutie perverse, dangereusement suggestive. En Angleterre, un imprimeur fut d’ailleurs condamné à la prison pour avoir publié, en anglais, les questions posées par les prêtres à leurs pénitentes : outrage à la pudeur ! Aussi voudrez-vous bien préciser, si vous désirez ce document « CHINIQUY », que vous êtes non seulement un ADULTE, mais un « adulte averti ». CB